Tome IV. 11e cahier. Mémoire sur la gnomonique. À Paris - Lefrançois
À Lille - Charles Delezenne (1776-1866)
horizontaux et universels. À Paris - Jean-Gabriel-Auguste Chevallier (1778-1848)
Tome III. Additions de Berroyer. Gnomonique, ou théorie des cadrans solaires. À Paris - Jean-Baptiste Biot (1774-1862)
Seconde édition, la première édition de 1805 (an XIII) que l’on peut trouver ici : ECHO ne comporte pas de passage sur la gnomonique.
Tome XLI. N° 121. Cadrans solaires portatifs. À Paris - Joseph-Nicolas Barbier de Vémars (1775-183?)
ou solution par la seule analyse, de ce problème général: trouver les intersections des cercles horaires avec une surface donnée. À Lyon - Joseph Mollet (1756-1829)
à l’usage des personnes peu versées dans les mathématiques. À Paris - Louis-Benjamin Francœur (1773-1849)
Cet ouvrage a eu une édition augmentée en 1818.
Tome III. Solution du problème de gnomonique proposé à la page 40 de ce volume par M. J. M. À Nîmes
Une contribution de 1816 à ces annales (voir ci-dessous) attribue cette réponse à Joseph Mollet.
à l’usage des élèves de cette école. Janvier 1809-Mars 1813. Tome II. Gnomonique analytique. À Paris - M. Puissant
ou leçon élémentaire d’astronomie théorique et pratique. Leçon III : Premières observations du soleil, idée de la gnomonique ou de la science des cadrans. À Paris - Jean-Baptiste Delambre (1749-1822)
Tome I. Chapitre IV : Premières idées de la gnomonique ou de la science des cadran. À Paris - Jean-Baptiste Delambre (1749-1822)
Voir aussi dans ce cours :
ou méthode simple et facile pour tracer les cadrans solaires. À Paris - Joseph Mollet (1756-1829)
La gnomonique analytique parue en 1812 se trouve à la fin de cet ouvrage.
Théorie purement trigonométrique de l’analemme rectiligne universel et particulier, avec des conjectures sur les moyens dont les arabes se servaient pour trouver l’heure. À Paris - Jean-Baptiste Delambre (1749-1822)
Tome VII. Gnomonique. Construction nouvelle d’un cadran solaire quelconque. À Nîmes - anonyme
Tome VIII. Gnomonique. Méthode universelle, commune à toutes les latitudes, pour tracer toutes sortes de cadrans solaires. À Nîmes - Louis-Benjamin Francœur (1773-1849)
La démonstration de l’ancienne encyclopédie à laquelle fait référence L.-Benjamin Francœur, précédée d’une description des échelles, se trouve ici : ATFL, à partir du point 19 ; les planches associées sont Pl. 2 et Pl. 3.
Francœur donne un complément d’information à sa publication dans les annales de 1818-1819 ci-dessous.
à l’usage des personnes peu versées dans les mathématiques. Gnomonique, ou art de construire les cadrans solaires. À Paris - Louis-Benjamin Francœur (1773-1849)
Seconde édition, revue et considérablement augmentée. La première édition est de 1812.
Tome IX. Gnomonique. Sur la méthode universelle, pour tracer toutes sortes de cadrans solaires à toutes latitudes. À Nîmes - Louis-Benjamin Francœur (1773-1849)
Gnomonique. À Paris - Jean-Baptiste Delambre (1749-1822)
considéré sous les rapports astronomique, commercial et historique. Traité élémentaire de gnomonique. À Nantes - Jean-François Le Boyer (1768-1835)
ou nouveau dictionnaire universel des arts et métiers. Tome IV. Cadran solaire. À Paris en 22 volumes de texte et 4 volumes de planches - Louis-Benjamin Francœur (1773-1849)
Voir aussi dans ce dictionnaire :
et appliquée à la marine, la géodésie et la gnomonique. À Paris - Philippe-Jean Coulier (18??- 1867)
Outre le contenu assez conséquent aux mots Cadran et Gnomonique, ce dictionnaire permet, par son système de renvoi, d’aborder la gnomonique sous des angles très variés.
La matière de cet ouvrage provient en bonne partie de l’Uranographie de L.-Benjamin Francœur. Celui-ci a vivement critiqué la manière dont elle a été utilisée dans le tome XXII de la Revue encyclopédique où se trouve également la réponse de P.-J. Coulier.
Notion de gnomonique. À Paris - Etienne-Marin Bailly (1796-1837)
ou dictionnaire abrégé des sciences, des lettres et des arts. Tome V. Cadrans solaires. À Paris en 24 volumes de texte et 2 volumes de planches - Louis-Benjamin Francœur (1773-1849)
Tome XV. Géométrie appliquée. Traité abrégé de gnomonique graphique. À Nîmes - Pierre-Frédéric Sarrus (1798-1861)
géographique, hydrographique et statistique du baron de Zach. Volume 14. À Gênes - Louis Ciccolini (1767-?)
Tome XVI. Note sur le tracé graphique des cadrans solaires. À Nîmes - Pierre-Frédéric Sarrus (1798-1861)
À Paris, puis progressivement en province, l’heure légale passe de l’heure vraie à l’heure moyenne locale
et description de la méridienne verticale portative du temps vrai et du temps moyen. À Versailles - E.-F. Imbard
usuelles et amusantes. Gnomonique. À Paris - T. Richard
ou dictionnaire abrégé des hommes et des choses, des sciences, des lettres et des arts. Tome IV. Cadrans solaires. À Bruxelles en 24 volumes de texte et 1 volume de planches - Louis-Benjamin Francœur (1773-1849)
C’est la deuxième édition de l’encyclopédie moderne, elle est augmentée d’articles biographiques.
31e année. Mois de mars. Rapport sur le monument solaire présenté à la société par M. de Laperrelle, professeur de stéréotomie. À Paris - M. Héricart de Thury
à l’usage de l’école d’application du corps royal d’état-major. À Paris - anonyme
Deuxième édition, revue et augmentée.
pures et appliquées. Tome II. Gnomonique. À paris - Sous la direction d’Alexandre Sarrazin de Montferrier (1792-1863)
Voir aussi dans ce dictionnaire :
ou l’art de faire les cadrans solaires, et re-régler les pendules et les horloges. À Paris - A. Person de Teyssèdre (?-1857)
Tome II. Gnomonique. À Paris - Alexandre Sarrazin de Montferrier (1792-1863)
Volume 18. Mémoire sur la pratique de la Gnomonique. À Metz - François-Théodore Gosselin (1791-1862)
À Metz - Stanislas-Fortuné Livet (1808-1860)
Chapitre XV. Notions de gnomonique. À Paris - Hippolyte Sonnet (1802-1879)
Usage et composition de la connaissance des temps. Gnomonique. À Paris - Louis-Benjamin Francœur (1773-1849)
Deuxième édition, la première édition de 1830, que l’on peu trouver ici : Google, ne comprend pas le chapitre gnomonique.
du nivellement et de la construction des cadrans solaires. À Paris - Napoléon de Meissas (1806-1883)
Tome I. Addition relative à la gnomonique. À Paris - Jean-Baptiste Biot (1774-1862)
Troisième édition, corrigée et augmentée.
ou bibliothèque universelle de toutes les connaissances humaines. Tome V. Cadrans solaires. À Paris en 25 volumes dont 2 de suppléments - Louis-Benjamin Francœur (1773-1849)
À Lyon - Jean-Marie Guyoux (1793-1869)
répertoire universel et raisonné des sciences, des lettres, des arts et des métiers. Tome IV. Cadran solaire ou Gnomon. À Paris en 18 volumes - B. Jullien
Appendice. Applications diverses. Chapitre I. Notions de gnomonique. À Paris - Hippolyte Sonnet (1802-1879)
Seconde édition remaniée, la première est de 1839.
mise à la portée de tout le monde. À Péronne - Vincent Croizet
5e édition, corrigée et augmentée.
À Paris - César Lambert et J. Picqué
À Paris - Lewis Tomlinson, traduit de l’anglais par Armand-Denis Vergnaud (1791-1885)
À Paris - Charles-François-Antoine Leroy (1780-1854)
ou méthode simple et facile de tracer les cadrans solaires, d’après Sternheim et dom Bedos. À Paris - Charles Boutereau
Journal des candidats aux écoles polytechnique et normale. Tome IV. Gnomonique. Nouvelle méthode pour tracer les cadrans solaires horizontaux. À Paris - S. Levesque
ou l’art de tracer les cadrans solaires. À Paris - Jean-Pierre Born
à l’usage des instituteurs et des personnes qui savent manier la règle et le compas. À Chartres - Gabriel Alcippe Mahistre (1811-1860)
aux ombres, à la perspective, à la gnomonique et aux engrenages. À Paris - Théodore Olivier (1793-1853)
Dictionnaire abrégé des sciences, des lettres ,des arts, de l’industrie, de l’agriculture et du commerce. Tome VII. Cadrans solaires. À Paris en 27 volumes de texte et 3 volumes de planches - Louis-Benjamin Francœur (1773-1849)
et civil d’horlogerie théorique et pratique. À Paris - Louis Moinet (1768-1853)
pour le tracé mécanique des cadrans solaires À Rodez - Adolphe Boisse (1810-1896)
depuis son origine jusqu’à nos jours. Chapitre III. À Paris - Pierre Dubois (1802-1860)
À noter, dans ce très bel ouvrage, le chapitre V consacré à l’équation du temps qui est particulièrement bien documenté : e-rara, Gallica
Marcel Gautier
Éric Mercier